Oxyepoecus mandibularis ( Emery, 1913 )
publication ID |
https://doi.org/ 10.1590/s0031-10492009002300001 |
publication LSID |
lsid:zoobank.org:pub:808BC881-D3A2-4039-9435-AE59860A7934 |
persistent identifier |
https://treatment.plazi.org/id/ED3E5E1F-457B-FFB9-FD3A-FA12FDBD6A4E |
treatment provided by |
Felipe |
scientific name |
Oxyepoecus mandibularis ( Emery, 1913 ) |
status |
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Oxyepoecus mandibularis ( Emery, 1913) View in CoL
Monomorium (Martia) mandibulare Emery, 1913:261-262 View Cited Treatment Fig. 12 (S from Bolivia: Songo); Emery, 1922:183. Borgmeier, 1928:65 (key).
Martia mandibularis : Kusnezov, 1952:722.
Oxyepoecus mandibularis View in CoL : Ettershank, 1966:146 (transfer to Oxyepoecus View in CoL ); Kempf, 1972:173 (catalogue); Kempf, 1974:491-492 (revision). Bolton, 1995:309 (catalogue).
This species is known only from the worker holotype, probably deposited in Emery’s collection in Genoa. This specimen was not examined by us, but several characters mentioned in the original description distinguish O. mandibularis View in CoL from all other species in the genus and species group. We thus reproduce Emery’s original description.
“Ouvrière. Brun ferrugineux, membres plus clairs, tête, excepté les mandibules, et segment basal du gastre brun noirâtre. Tête mate, très finement réticulée, sur le front, le réticule se résout en fines stries et, sur les joues, le fond se montre luisant; épistome et mandibules luisants; corselet strié, les promésonotum en long, mais assez irregulièrement, l’épinotum transversalement et régulièrement. Poils longs et fins, pubescence presque nulle.
La tête est de peu plus longue que large, si on ne compte pas la saillie que forme l’épistome avec ses dents; mais si on en tient compte, la tête est alors presque une fois et demie aussi longue que large. Les mandibules sont longues et armées de 4 grandes dents dont le basal est épaissé et séparée des autres. L’épistome est bicaréné et armé, comme dans M. vezenyii et M. rastratum . Le scape atteint presque le bord occipital; massue de 3 articles, le dernier plus long que les deux autres, ceux-ci presque égaux. Pas de suture promésonotale, le profil du corselet n’est presque pas impressioné dans la suture mésoépinotale; l’épinotum a la face descendante beaucoup plus courte que la face basale; cette dernière est droite, presque verticale, bordée d’une arrête sur les côtés, qui se termine en haut par une petite saillie mousse. Vu par-dessus, le pétiole paraît claviforme; de profil il est pédonculé et surmonté d’un noeud près de deux fois aussi haut que long; par-dessus, le noeud est un peu plus large que long; postpétiole ovale, à peine de moitié plus large que le noeud du pétiole – L. 3 mill”.
Comments: The characters that better distinguish O. mandibularis from other species in the genus are the workers’ relatively large overall size (3 mm) and the sculpture pattern on the head dorsum, promesonotum, and propodeum. However this species runs with O. rastratus in the identification key, but can be distinguished from it by the longer median tooth and the shorter lateral tooth in O. mandibularis .
No known copyright restrictions apply. See Agosti, D., Egloff, W., 2009. Taxonomic information exchange and copyright: the Plazi approach. BMC Research Notes 2009, 2:53 for further explanation.
Kingdom |
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Phylum |
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Class |
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Order |
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Family |
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Genus |
Oxyepoecus mandibularis ( Emery, 1913 )
Albuquerque, Nicolas Lavour de & Brandão, Carlos Roberto Ferreira 2009 |
Oxyepoecus mandibularis
Bolton, B. 1995: 309 |
Kempf, W. W. 1974: 491 |
Kempf, W. W. 1972: 173 |
Ettershank, G. 1966: 146 |
Martia mandibularis
Kusnezov, N. 1952: 722 |