Tapeinosperma golonense M.Schmid, 2012

Schmid, Maurice, 2012, Contribution à la connaissance des Primulaceae (ex Myrsinaceae) de Nouvelle-Calédonie. III. Les genres Tapeinosperma Hook. f. et Mangenotiella gen. nov., Adansonia (3) 34 (2), pp. 279-341 : 304-306

publication ID	https://doi.org/ 10.5252/a2012n2a7
publication LSID	lsid:zoobank.org:pub:5A91572C-743B-495C-9FC7-F8DC9BF2ACB9
DOI	https://doi.org/10.5281/zenodo.5462635
persistent identifier	https://treatment.plazi.org/id/EB41A857-1F52-FFAB-FD2D-FB2CFDB131EA
treatment provided by	Marcus
scientific name	Tapeinosperma golonense M.Schmid
status	sp. nov.

Treatment

Tapeinosperma golonense M.Schmid View in CoL , sp. nov.

( Fig. 9 View FIG )

Arbuscula exilis. Folia sessilia. Lamina pergamentacea, anguste oblanceolata, apice obtusa, in parte inferiori taeniata et basi rotundata, 25-35 cm longa, 4,5-6 cm lata, in sicco supra olivacea, infra pallide rubiginosa, punctis glandulosis leviter visibilibus. Nervatio tenuis, pennatoreticulata, infra prominulior. Inflorescentiae terminales in ramis vegetativis vel in ramulis specialibus erectis, cum cataphyllis foliis vegetativis similaribus sed minoribus, ad extremitatem in corona aggregatis. Panicula 1-2 pinnata. Axes leviter verrucosi. Flores c. 2 mm longi, pedicello 1-2 mm longo. Sepala ovato-triangularia, fere libera, 1 mm longa. Petala 1,5 mm longa. Sepala et petala manifeste glandulosopunctata. Stylus 1 mm longus. Fructus globulosus, 7-8 mm diametro, maculis glandulosis praeditus.

TYPUS. — Nouvelle-Calédonie, vallée de la Golone (région de Poum), vers 10 m, en forêt sur schistes et alluvions, arbuste grêle (4 m), fl. roses, fr. violacés, 22.XII.1998, Veillon 8178 (holo-, P! [ P00835371 ] ; iso-, NOU) .

OBSERVATIONS

Cette espèce est très proche de T. sessilifolium , dont elle se distingue principalement par la faible longueur de ses pédicelles floraux.

La station où elle a été récoltée jouxte le secteur où T. sessilifolium est assez commun, mais on notera que le seul pied encore reconnu se trouvait sur terrain plus ou moins siliceux, alors que T. sessilifolium paraît lié aux substrats ultramafiques. Compte tenu du lieu unique de récolte, dans un secteur où l’activité humaine pourrait se développer, sa survie paraît incertaine.