Enchodelus vestibulifer, Edm. Altherr, 1952

Edm. Altherr, Aigle, 1952, LES NÉMATODES DU PARC NATIONAL SUISSE, Ergebnisse der wissenschaftlichen Untersuchung des schweizerisehen Nationalparks III (26), pp. 340-349 : 340

Enchodelus vestibulifer n. sp. Fig. 14.

1948: 39. 1 ♀ en hon état.

L: 1550; a: 31; b: 4; e: 69; V: 51 %; 1 § nö › ı`ı / b₁: 50%: G₁: 11 %: G ₂: 9%.

Corps relativement mince. Région lahiale égale aux 5/8 de la largeur au cardía. 8 Cuticule finement striée (immersion), épaisse de 2 μ en avant, de 3 μ à la queue. Champ latéral égal au 1/ 5 du corps (?). Lèvres très au / corps nettes, séparées du corps par un léger étranglement. Dard très nıince, long de 22 μ (largam: de 1 a région labiale), large (le 1,5 μ (1 15 de cette même région); Ouverture égale au de sa longueur. Rapport dard: expansion basale - 22/34, soit 65%. En avant de Panneau-guide très faiblement chitinisé, un vestibule très net, dont la profondeur atteint environ la moitié de la longueur du dard. Organes latéraux difficiles à déceler en glycérine-gélatine. Expansion basale entourée d ’un renflement musculeux, passant à la partie antérieure de l ’oesophage mince; élargissement au 50%; largeur de la partie renflée de l ’oesophage égale aux s/a environ de la largeur du corps. Car ­ dia indistinct. Vulve au milieu du corps. Vagin n ’atteignant pas tout à fait le milieu du corps. Gonades courtes, épaisses. Replis atteignant environ le 1/4 de la branche principale. Pas observé de spermatozoïdes. Rectum égal au diamètre anal. Prérectum égal à 1,5 fois le rectum. Queue convexe-conoïde, à cuticule non stratifiée, plus courte que le diamètre anal, avec amorce de cordon central. De chaque côté une douzaine de glandes («saccates caudal bodies») semblables à celles de Pungentus et (d'Encho ­ delus teres (50 glandes) et d ’E. laevis (25 glandes).

Fig. 14: Enchodelus vestibulifer n. sp.

a = tête; b = queue de la femelle.

/ son 1/ 4 1/3

Cette espèce fait partie du groupe à queue ronde (rounded-conoid), à expansion basale du dard sans élargissement; elle se rapproche d ’E. teres, dont elle diffère par: 1. dard plus court; 2. présence d ’un vestibule buccal net; 3. queue plus courte; 4. b t — 50% au lieu de 60%; 5. glandes (?) caudales bien moins nombreuses.